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Maltraitance.

La reconnaître et agir !

La maltraitance du monde vivant et plus particulièrement des animaux, fait partie de notre quotidien même si nous ne la voyons pas toujours. Apprendre à la repérer et choisir d'agir est une avancée essentielle et majeure pour un monde et des sociétés soutenables et viables pour tous !

La maltraitance porte bien des visages, elle peut même être tout à fait légale quand elle n'est pas "parrainée" par nos institutions, au travers des terribles usines-élevage pour des motifs alimentaires ou de mode, l'animal étant considéré comme un produit dérivé !  Elle peut être privée, avec la multitude de "propriétaires" d'animaux pas toujours si responsables et à l'écoute des besoins élémentaires de leurs "protégés", bien trop souvent instrumentalisés ou réceptacles innocents de nos désordres intérieurs. Et tous ces "animaux de travail" et de loisirs, véritables esclaves arrachés à leur environnement naturel souvent très jeunes, pour servir l'inhumanité dans ses loisirs, qu'ils soient de cirque, de zoo ou autre delphinariums prisons.

 

Certaines traditions ayant elles aussi la vie dure.. La chasse en particulier peine à évoluer et à suivre la réduction des espaces sauvages, les épisodes de feux, d'inondatons ou de sécheresse, qui impactent déjà durement la faune. Que dire alors, du maintien de la chasse à courre, pourtant abandonnée par nos voisins européen depuis longtemps.

Pour les maltraitances dites légales, le boycott et la consommation conscientes restent avec les pétitions les moyens élémentaires. Agir pour l'évolution des lois est une évidence pour celui qui veut s'engager.

Pour les autres, même si les lois ne protègent pas suffisamment et activement le monde vivant, des signalements, dépôts de plaintes et interventions peuvent soulager et stopper bien des souffrances.

Pouvons nous imposer des modes de vie douloureux à d'autres êtres vivants, qui tout comme nous souffrent de la maltraitance, des emprisonnements, d'être séparés de leurs petits auxquels ils sont eux aussi très attachés ? Nos différences ne portent pas si loin que cela et les temps sont venus de développer une solidarité inter-espèces pour que nous puissions cohabiter de la meilleure des façons possibles, avec tous ces peuples merveilleux qui enchantent littéralement nos mondes.

La grandeur de ceux qui se disent "pensants" devrait se mesurer à leurs capacités d'empathie et de bienveillance. N'oublions pas d'étendre aux environnements de tous ces peuples, ces qualités qui ne peuvent être que les jalons d'un avenir nouveau.

Christine BERODIER

L'Arbr'en Soi l'éveil l'envol, Savoir pour agir, conscience environnementale, maturité écologique, écocitoyenneté

Source Mydogandi

Pour un droit des animaux !

 

Pour une solidarité

inter-espèces !

Ce que dit la loi !
 

Le Code Pénal  punit les actes de maltraitance. Suivant leur niveau de gravité, il peut s’agit d’une contravention ou d’un délit : 

  • Contravention pour les mauvais traitements sur animaux (article R.654-1) ; peine jusqu’à 750 € d’amende prononcée par le Tribunal de Police.         

  • Délit pour les sévices graves et actes de cruauté mais aussi les abandons d'animaux (article 521-1) ; peine jusqu’à  2 ans d'emprisonnement et 30.000 € d'amende prononcée par le Tribunal correctionnel.

 

Ces peines peuvent être complétées  par une interdiction temporaire ou définitive de détenir des animaux de compagnie.

MALTRAITANCE DES ANIMAUX

Réglementation et démarches par animal et son milieu, pour agir !

Avec le JPA faites le tour des 260 refuges

Liste des associations

Annuaire des associations de protection animale

Fondation 30 millions d'amis

L'ANIMAL EST-IL UN HOMME COMME LES AUTRES ?

Y a-t-il une différence entre humanité et animalité? Est-elle de degré ou de nature? Les deux termes termes renvoient-ils à deux réalités distincts ou bien est-ce deux facettes d'une même réalité?

VERS UN CODE DU DROIT DES ANIMAUX ?

Des avocats ont décidé de se mobiliser pour défendre les droits des animaux et même de créer un code qui leur soit dédié.

DEVENIR UN PROFESSIONNEL DU DROIT DES ANIMAUX.

Les premiers diplômés en Droit Animalier ont achevé leur formation sur le campus de Brive-la-Gaillarde (Corrèze). Cette formation, sans équivalent en France, a été mise en place par l’Université de Limoges en septembre 2016, sous l’impulsion du professeur Jean-Pierre Marguenaud, en partenariat avec la Fondation 30 Millions d’Amis et la Ville de Brive. Dès son lancement, elle a rencontré un vif succès avec 83 candidatures pour seulement 25 places, l’Université a finalement retenu 29 personnes.

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