RÉSEAUX SOCIAUX- MATRICES DYNAMIQUES DE L'ÉCO-CITOYENNETÉ..
Après quelques années de pratique et une sorte de "gymnastique" acquise à l'utilisation des réseaux sociaux dans le cadre des actualités, mouvements et engagements vis à vis de l'environnement et de notre écologie intérieure, on ne peut que constater que ces réseaux sont de plus en plus l'un des outils si ce n'est "l'Outil" qui nous permet le mieux de nous relier et de ce fait, de participer et d'agir vite quand cela est nécessaire. Ils permettent à tous de lancer un "appel", mais surtout et c'est bien le plus important, d'être entendus et relayés.. De rayonner plus loin, plus large.
Ils ont ces dernières années, grandement contribué à bien des mouvements et pour certains des plus actuels : "End Ecocide on Earth" ou "People 4 Soil" au travers de leurs projets de loi pour l’octroie de droits à la Terre. Sans ces réseaux de diffusion actifs si ce n'est hyper-actifs, l'émergence de "Grandes marches" comme Women wage peace : des milliers de femmes en marche pour la paix, en passant par la mobilisation pour le boycott citoyen avec la plateforme "I-Boycott", ne seraient certainement pas possibles... Toutes ces actions génèrent une vague, un mouvement et participent grandement à "l'éducation environnementale et sociale" et à cette "Utopie en chemin" vers de nouvelles sociétés plus égalitaires et de ce fait, leurs éclosions. Elles participent grandement à cette si urgente sensibilisation au "vivant" et éveillent notre conscience écologique.. Ces champs d'échanges fertiles ont le mérite d'ouvrir grand les zones de réflexion et si les échanges ne sont pas toujours modérés, ils ont néanmoins toujours, le mérite d'amener chacun à se positionner et à se remettre assez régulièrement en question.. Ou pas...
Lorsque "les veilleurs" arrivent à dénicher les appels à participations et contributions citoyennes notamment en amont de certains grands projets destructeurs de la biodiversité.. Leur diffusion instantanée sur les sites et réseaux à forts trafics les mettent sous le projecteur "éco-citoyen" qui en démultiplie l'impact tout en traduisant les notions trop hermétiques. C'est la démocratisation de l''information et de l'expression éco-citoyenne et celle-ci circule et circule vite ! La censure ou autres freins ne suivent pas et les frontières même, n'existent plus ou presque.
Alors oui il faut rester vigilants et conscients sur la qualité et la véracité de ce qui est émis mais en fin de compte, cette masse d'informations pour celle et celui qui choisit d'entrer dans cette danse, développe un esprit critique qui s'affine au fil de ce flux incessant. Il n'est pas rare d'ailleurs de constater qu'une forme d'auto-éducation participative se met en place, les plus "calés" et les plus avancés sur les sujets n'hésitant pas à alerter lorsque cela est nécessaire, sur les éventuels points d'attention à apporter à certaines informations ou vis à vis de certains diffuseurs.
Bon ou moins bon, le flux a le mérite d'être Libre et Libéré tandis que maturité écologique et sociale aidant, chacun(e) trouve les sources où s'abreuver le plus sûrement et au plus près de sa sensibilité tout comme du point du chemin où il se trouve... Territoires connus et familiers pour certains, ou bien plus inquiétants pour d'autres, en général ceux qui les connaissent peu, ces zones d'échanges multidimensionnelles, multi-générationnelles et merveilleusement multiculturelles, nous propulsent d'un univers à l'autre avec un certain effet "montagnes russes".
Alors, en route pour le Monde Nouveau ! Et attachons bien nos ceintures car ça n'a pas fini de pulser sur la toile !
Source http://www.aaznetmedia.com/catalogue-electronique/le-monde-des-reseaux-sociaux-de-a-a-z/